N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (52.23.192.92) si quelqu'un porte plainte.
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Le destin a beau dire mais moi j'ai du mal à saisir. Tout s'enlace puis se desserre, la vie est une machine à larmes. Et tous ces mots qui me viennent deviennent sanglots puis coulent comme l'eau. Sans toi mon c½ur s'en va à la dérive, mon bonheur est mis en quarantaine. Sans toi, ma vie ressemble à une scène quand le spectacle est terminé. C'est vivre sans battements de c½ur, c'est un rêve qui n'a plus de charme dans un futur qui fait peur. Il pleut des larmes dans mon c½ur, mes joies se conjuguent au passé. J'ai perdu le goût du bonheur depuis qu'tu m'as laissé. Les 'comment' me font pleurer et les 'pourquoi' me déchirent. J'veux mourir aux larmes, juste pour un temps, faire le point avant de tourner la page. Ecoute mon c½ur, il parle, il a froid sans toi, c'est dur ... Il pleure, il rame, mais tu l'as tué ce petit bout qui bat. Je sais qu'c'est la vie, qu'c'est pas grave, qu'on s'en remet tôt ou tard, qu'il faut déjà penser à prendre un nouveau départ mais ce soir, je veux mourir aux larmes. J'ai envie de tout changer, envie d'fermer mon c½ur à clef histoire d'oublier qu'j'ai mal. Terriblement envie d'pleurer, j'ai tellement le c½ur en larmes. Y a du brouillard plein dans ma tête, j'voudrais pas que ma vie s'arrête à cause d'une histoire sans histoire. J'voudrais désapprendre à m'souvenir même si c'est plus facile à dire. J' me sens seule, j' me sens mal sans personne à qui parler. J' me sens d'ton amour volé, j't'aimais trop, j't'aimais tant. Peut-être que j't'aimais pas assez. Tu n'aurais pas dû me faire rêver. J'me sens perdue, abandonnée, je n'aurais jamais dû t'écouter. Je sais, ça fait sourire les gens, faut pas croire qu'on est fort tout le temps. Tu sais, ça n'arrive pas qu'aux autres, c'est jamais quand on s'y attend qu'on se désamour simplement et ça fait mal vraiment, longtemps...
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Deux mois passés avec toi, un été plus que magnifique. Le ciel était gris mais mon soleil c'était toi. Et je dois te laisser partir maintenant. Lundi 15 septembre, tu t'envoleras là-bas* pour un an & moi j'resterais là sans toi. Samedi, les au revoirs, faute de ne pas pouvoir t'accompagner à Nantes ... j'repenserai à tous ces moments, nos vacances à Quiberon rien que toutes les deux, cette fameuse soirée « sardine » que nous sommes bien loin d'oublier, nos rencontres, nos journées playa, les BG, nos journées shopping, nos soirées boîtes à picoler dans un champ, nos au revoir sur le quai de la gare en sachant qu'on se retrouvait 2 jours après, nos soirées sur la côte sauvage à parler de nos Mathieu*, nos confidences, notre escapade Quiberon/Carnac à vélo, nos emmerdes au camping, cette maison pas comme les autres, et tant de choses encore ... Au fond de moi, il y a tant de souvenirs & ce bonheur que nos deux c½urs ont partagé, jamais je ne l'oublierai. Aujourd'hui, toi & moi vivre séparées me paraît insensé mais ce moment approche de jour en jour. Peu importe le distance, peu importe le temps, je penserai à toi parce que rien ne pourra combler ce manque, ce vide que tu vas laisser. Un an, soit 365 jours loin de toi, mais pas un seul sans penser à toi ...
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J'suis complètement à l'abandon, crucifiée, j'suis délattée mais j'veux pas me laisser crever, pas pour toi ... J'voudrais rire à en pleurer mais il est toujours plus facile de dire les choses que de les appliquer. La raison voudrait chasser parfois ma pensée, lequel de nous n'a pas rêvé de perdre la mémoire ? Pourtant il faut souvent, bâtir l'avenir avec nos souvenirs. Tu ne peux plus rien pour moi, seulement t'éloigner de moi, t'écarter un peu de mon soleil. Tu as mis devant mes yeux tant de bonheur, je n'avais jamais rien vu de pareil. Je reste là perdue sans toi et je ne sais pas comment t'oublier ... Et c'est bien là tout mon malheur, tu étais le seul que jamais je n'aurais dû croiser. Je t'avais donné mon c½ur, tu voulais déjà ma vie, un instant j'ai cru ne plus te quitter. J'ai mal, si seulement tu pouvais revenir. La nuit je rêve encore que tu es près de moi. Et sans faire aucun effort, tout me rappelle à toi. J'ai gardé le meilleur comme on garde un porte bonheur pour tous ces moments là où je ne suis rien sans toi ... Quand je te vois je baisse les bras car je ne sais pas comment t'oublier ... Alors dis-le moi toi, donnes-moi la solution. Mes larmes et le temps n'effacent pas tous les souvenirs. Je pourrais pleurer un océan mais il restera des vagues de désir. Alors je préfères marcher sous la pluie en regardant le ciel et ne penser à rien d'autre que la pluie qui ruisselle, cette pluie sur ma peau qui vient tout effacer. J'voudrais être moi à nouveau, n'avoir plus de passé sur mon chemin et t'oublier. Marcher à l'infini, me vider de mes larmes, n'être plus qu'une absence au creux de ces heures qui me tuent, marcher comme un pantin et tomber à genoux mais marcher malgré tout, marcher jusqu'à plus rien, pour t'oublier. T'oublier et au bout de ma peine voir se lever la vie. J'voudrais y arriver mais j'y suis encore bien loin. Je voudrais que tu reviennes mais toi, quand tu me vois, tu ne vois rien, rien de ma peine. Je fais semblant de t'oublier, je fais semblant de t'ignorer, pour le retour de notre amour, pour te revoir et te garder toujours, je fais semblant de t'oublier mais au fond je n'y arrive pas. On dit toujours que quand on veut on peut, je veux pas ? Peut-être parce que j'y ai cru un peu trop fort, peut-être parce que ce beau roman avait bien commencé, mais les dernières pages sont bêtes à pleurer. Quand on se fait plus de mal que de bien, vouloir continuer ne rime à rien. Mais je finirai par t'oublier, par sourire. Vous mes amis vous essayerez de lui mentir, en le voyant dites-lui bien que je suis heureuse, que tout va bien et que je n'ai besoin de rien. En le voyant dites-lui bien que très souvent vous m'entendez rire de loin. Ne dites pas la vérité, ne dites pas qu'il me faudrait plus d'une vie pour l'oublier ...
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